Durant sept mois, des millions de Français non-vaccinés ont été exclus de leurs droits. Certains plus que d’autres, à l’instar des professionnels de santé suspendus qui ne sont aujourd’hui toujours pas réintégrés. Cette exclusion d’une partie de la population le fut sous de faux prétextes sanitaires et au nom d’une réelle volonté politique de nuire aux populations trop confiantes.
Outre l’exclusion, les non-vaccinés ont dû subir l’insulte proférée par certains « covidiots » utiles qui nièrent leur humanité, proposant de ne point les soigner en cas de nécessité. L’absence de compassion manifestée à l’égard des exclus fondait ces nouvelles heures sombres de l’histoire durant lesquelles certains responsables s’abaissèrent en refusant le RSA à ceux qui ne percevaient plus leur salaire et connurent ainsi mort sociale et misère.
Pourtant, des grands scientifiques, à commencer par le prix Nobel de médecine, Luc Montagnier, avaient très tôt prévenu que l’injection favorisait la propagation du virus et qu’en conséquence les non-vaccinés n’étaient pas plus responsables que les injectés de la poursuite de l’épidémie. Mais, Montagnier, comme d’autres, fut discrédité par un système de pouvoir qui affirmait abusivement que se faire vacciner revenait à protéger les autres.
On sait maintenant, depuis l’audition devant le Parlement européen, d’une haute responsable de chez Pfizer, Janine Small, qu’aucun essai ne fut effectué par la firme pharmaceutique pour prouver que le vaccin protégeait de la contamination. Les pouvoirs publics mentirent donc ouvertement pour contraindre la population à subir une thérapie génique aux effets inconnus à long terme.
L’esprit démocratique qui est mesure, doute raisonnable et honnêteté intellectuelle fut bafoué -comme le fut l’esprit scientifique qui lui est consubstantiel- par l’utilisation d’arguments contestables et par la stigmatisation exercée à l’encontre des grands médecins qui conservèrent leur probité, à l’instar de Luc Montagnier, Didier Raoult, Christian Perronne et d’autres encore.
Au mois d’octobre dernier, le ministre grec de la Santé, Thanos Plevris, justifia son refus de réintégrer les non-vaccinés au prétexte que « les agents de santé non vaccinés n’ont pas leur place dans le système de santé, car ils ne croient pas en la science ».
Ainsi, nous sommes entrés dans une réalité de croyants qui imposent le dogme plutôt que l’analyse des faits. La science véritable a fait place à l’idéologie scientiste manipulatrice et le pouvoir qui instrumentalise celle-ci glisse de plus en plus vers des pratiques qui rappellent douloureusement les méthodes totalitaires du siècle dernier.
Il nous faut donc rester particulièrement vigilants et sans cesse lutter pour maintenir haut le flambeau de la vérité; la saine raison doit à nouveau primer sur l’idéologie.